DANIEL JOHNSON

Premier ministre du Québec (1966-1968)


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    La résidence secondaire de Daniel Johnson était située au 276 rue Notre-Dame à Saint-Pie. Centre d’histoire de Saint-Hyacinthe, CH548-A-S11-SS3-D2 Fonds Raymond Bélanger, photographe.

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    À l’occasion de sa nomination comme ministre des Ressources hydrauliques, Georges Marion, Ernest Desparts, maire du Village, et Barthélemy St-Pierre, maire de la Paroisse, remettent à Daniel Johnson les armoiries de la Municipalité du Village de Saint-Pie, en mai 1958. Centre d’histoire de Saint-Hyacinthe, CH548-A-S11-SS3-D9 Fonds Raymond Bélanger, photographe.

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    Daniel Johnson est très présent dans la communauté de Saint-Pie. Ici, en compagnie du chanteur et animateur Fernand Robidoux, à gauche de la photo, et de la chanteuse Lucille Dumont, à droite, il procède au couronnement de Dorisse Desnoyers comme étant la reine du Carnaval de Saint-Pie en 1960. Centre d’histoire de Saint-Hyacinthe, CH489 Fonds Amicale et Carnaval de Saint-Pie.

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    Pour les enfants Johnson (Daniel fils, Marie, Diane et Pierre Marc), Saint-Pie demeure un lieu où ils ont passé une partie de leur jeunesse et de leur adolescence. Centre d’histoire de Saint-Hyacinthe, CH548-A-S11-SS3-D9 Fonds Raymond Bélanger, photographe.

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    En 1952, Daniel Johnson et son épouse font parvenir leurs vœux de fin d’année à partir de leur résidence de Saint-Pie. Centre d’histoire de Saint-Hyacinthe CH045/D13-14 Fonds Daniel Johnson.

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    En 1959, le curé Albéric De Grandpré s’amuse avec Georges Davignon, Daniel Johnson et le docteur Maurice Chaput lors de l’inauguration du premier terrain de jeu de Saint-Pie qui était situé à l’angle des rues St-François et La Présentation où se trouve actuellement la Caisse Desjardins. Centre d’histoire de Saint-Hyacinthe, CH548 Fonds Raymond Bélanger, photographe.

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    Daniel Johnson livre un discours de circonstance lors de l’inauguration du terrain de jeu de Saint-Pie en 1959. Derrière lui, on aperçoit le docteur Maurice Chaput et, à sa gauche, le curé Albéric De Grandpré. Centre d’histoire de Saint-Hyacinthe, CH548 Fonds Raymond Bélanger, photographe.

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    Daniel Johnson est l’invité d’honneur du congrès des clubs 4-H des Cantons de l’Est qui se déroule à Saint-Pie en mai 1962. On l’aperçoit en compagnie de Denis Gévry, président du Club 4-H de Saint-Pie, Pierrette Turgeon, présidente provinciale, Bernard Proulx, maire du village de Saint-Pie, et Anatole Mathieu, frère du Sacré-Cœur, secrétaire. Centre d’histoire de Saint-Hyacinthe, CH548/S3/SS2/D2 Fonds Raymond Bélanger, photographe.

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    En 1963, à la salle de l’école Sacré-Cœur, Daniel Johnson et son épouse participent aux célébrations du 40e anniversaire de sacerdoce de l’abbé Albéric De Grandpré, curé de Saint-Pie de 1952 à 1964. On aperçoit à droite de l’abbé De Grandpré, monsieur Bernard Proulx, maire du village de Saint-Pie et son épouse. Centre d’histoire de Saint-Hyacinthe, CH548/S12/SS1/D2 Fonds Raymond Bélanger, photographe.

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    En février 1957, des membres de l’Amicale de Saint-Pie visitent l’Assemblée législative en compagnie de Daniel Johnson qui occupe alors le poste d’orateur suppléant. Dans le groupe,  on aperçoit Jean Couture, Georges-Henri Côté, Conrad Bousquet, Georges Davignon, Daniel Johnson, Bernard Proulx, maire du village de Saint-Pie, Georges Petit, François Charron et son épouse Thérèse, et André Desparts. Centre d’histoire de Saint-Hyacinthe CH380/006/000/000/2413 Fonds Le Courrier de Saint-Hyacinthe.

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Saint-Pie, lieu de résidence


Daniel Johnson est le candidat favori de Maurice Duplessis pour représenter l’Union nationale lors d’une élection partielle qui se déroule dans Bagot, le 18 décembre 1946 (20). Afin de s’assurer d’un lieu de résidence dans le comté, Daniel Johnson choisit de s’établir à Saint-Pie, dans la paroisse la plus libérale du comté. De plus, en installant sa résidence secondaire à Saint-Pie, il peut contrer directement le Dr Roland Bailly, le candidat libéral qui demeure au 255 rue Notre-Dame à Saint-Pie.

 

Ainsi, le 7 décembre 1946, il achète de Jules Tétreault, un dentiste montréalais, une résidence située au 276 rue Notre-Dame (à trois maisons de son adversaire) pour un montant de 6 800 $, comprenant également « les objets mobiliers et accessoires de nature quelconque » (21).

 

Élu député, Daniel Johnson s’installe dans sa résidence secondaire où il vient passer les fins de semaine et les congés en compagnie de sa famille. C’est chez lui qu’il rencontre ses concitoyens. « [Il] recevait ses électeurs dans son bureau de comté adjacent à la maison de Saint-Pie de Bagot, le vendredi après-midi, le samedi, et le dimanche après la grand-messe », affirment ses fils Daniel et Pierre Marc (22). Ils poursuivent : « Durant les toutes premières années, le bureau de comté était dans la maison, et la salle d’attente était un long banc sur lequel les électeurs s’assoyaient, adossés au mur attenant à la cuisine familiale! »

 

Au fil des ans, la présence à Saint-Pie d’un député, puis d’un premier ministre, deviendra donc une source de fierté pour les membres de cette petite communauté.

Famille et généalogie

Homme de loi

Étudiant

Saint-Pie, lieu de résidence dans le comté

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